Évaluations, indices de classement, notations extra-financières, trophées, marques professionnelles… les initiatives en matière de RSE se multiplient, pour certaines autoproclamées « labels » voire « certifications ».
Face à ce constat, une clarification s’impose. Dire clairement ce que recouvre un engagement et ce qu’il ne recouvre pas est indispensable.
En quoi, et sous quelles conditions, les labels peuvent faire progresser et aider à la massification de la RSE dans les TPE, PME et ETI qui sont au cœur du tissu économique français ? À quelles exigences doivent-ils répondre pour être reconnus et valorisés, tant par les donneurs d’ordre privés que publics ? Quel accompagnement devrait-être proposé aux entreprises, en particulier aux moins de 50 salariés, pour se lancer dans une démarche de labellisation ?
La Plateforme RSE s’est appuyée sur le bilan de l’expérimentation de labels RSE sectoriels, menée auprès de 18 fédérations professionnelles de mai 2018 à décembre 2019, ainsi que sur une trentaine d’auditions pour formuler 10 principes clés et 24 recommandations, adressées au gouvernement, aux entreprises, aux fédérations professionnelles et aux chercheurs.
Rendez-vous pour une webconférence le vendredi 26 mars 2021 de 12h30 à 13h15 avec Frédérique Lellouche, présidente de la Plateforme RSE, Guillaume de Bodard, vice-président de la Plateforme RSE / animateur du GT et Sandrine Cadic de France Stratégie, pour présenter ces analyses et débattre, avec vous, sur ces questions.
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